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Procès
GHB: Un procès correctionnalisé
C'est la victime qui a souhaité pour que son affaire soit jugée plus vite, que son dossier soit examiné par un tribunal correctionnel et non par la Cour d'assises . Les peines encourues sont moindre, mais la jeune femme souhaite en terminer rapidement et surtout que son procès dissuade les utilisateurs du GHB.
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Jeudi 27 novembre 2003
Rachida N.
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A l'origine, le dossier de " viol " qui doit être examiné vendredi par les magistrats aurait du se dérouler devant la Cour d'assises et non devant une chambre correctionnelle.
En fait, c'est la victime elle-même qui a demandé une requalification du " viol " en " agression sexuelle par administration de substance chimique avec préméditation". Elle désirait en effet, qu'un jugement intervienne rapidement. Or, il lui aurait fallu attendre plus de trois ans pour que son affaire soit examinée par une Cour d'assises et un jury. Mais cette femme de 30 ans ne veut pas attendre plus longtemps pour obtenir des " explications " , elle désire en finir et son agression remonte déjà à plus de trois ans.
Après la requalification de la plainte, le violeur présumé encourt aujourd'hui, une peine de 7 ans de prison au lieu des 20 ans prévus en cas de comparution devant les Assises.
Sa famille n'étant pas au courant de son agression, la jeune femme qui souhaite garder l'anonymat espère surtout que son agresseur soit reconnu coupable et que cela décourage les violeurs potentiels.
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